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La finalité de tout bon mariage, telle que l'enseigne la doctrine de l'Eglise depuis Saint-Augustin, est la procréation. Une épreuve redoutée pour beaucoup, qui tient principalement au peu de secours que l'on peut attendre des chirurgiens et des sages femmes ; les uns faisant l'objet de solides préjugés qui s'opposaient, au nom de la décence, a ce qu'un homme s'occupe d'accouchement bien souvent jugé trop coûteux et donc rarement appelé, et les secondes, sans réelle formation autre que celle acquise au chevet des femmes en couches, et dont l'essentielle qualité reste l'adresse manuelle et la prudence.
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